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Table des matières

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ACTUALITE DECEMBRE 2010
Veillée de prière pour la vie naissante
 
Une première ! Le pape Benoît XVI a pris l’initiative d’inviter tous les diocèses de l’Eglise catholique à prier pour la vie le 27 novembre, sous le titre : « Vulnérable, incroyable et sacrée… la Vie ! ».
Devant l’offensive généralisée contre la vie, par l’union libre, la contraception et l’avortement, on constate que les pays riches, en particulier ceux de l’Europe, ne renouvellent plus les générations.
La sexualité a pour but naturel à la vois de resserrer l’amour entre mari et femme, et d’assurer la procréation. En séparent sexualité et procréation, au nom du plaisir, on aboutit à tuer la vie.
A l’inverse, le pape demande à tous les croyants de prier pour l’unité des familles par l’amour vrai, la maîtrise de soi et l’accueil des enfants.
Remercions Dieu pour le don et la beauté de la vie.
En ce qui concerne la France, prions le Seigneur d’éclairer ceux qui vont procéder à la révision des lois de bioéthique.
 
Le Père Henri CAFFAREL, apôtre de la spiritualité conjugale

Colloque au couvent des Bernardins - Paris, 4 et 5 décembre 2010

 
Le Père Henri CAFFAREL, né à Lyon en 1903, mort en 1996, a été habité par deux grandes intuitions : la sanctification des époux chrétiens et l’oraison.
A la suite du Père DONCOEUR, Henri CAFFAREL approfondit dans la prière la spiritualité conjugale. Dès 1939, il réunit quelques foyers et fonde, en 1945 les Equipes Notre-Dame. Il crée la revue « L’Anneau d’Or » (1945-1967) où il donne des enseignements, illustrés par de nombreux faits et des témoignages. Il organise les Equipes Notre-Dame avec des groupes de base, des secteurs, des régions puis des pays.
Dans le même temps, il insiste sur l’oraison qui concerne aussi les laïcs et pas seulement les religieux. Dans la maison de Troussures, il donne des « Semaines de prières » ouvertes à tous. De 1965 à 1995, 25 000 personnes, prêtres, religieux-religieuses et laïcs viendront s’initier à l’oraison. Les laïcs sont invités à pratiquer l’oraison pendant une demi-heure, les religieux-religieuses, une heure et les prêtres deux heures ! Il crée les « ‘Cahiers sur l’oraison » ainsi que des cours par correspondance. Il écrit différents livres. A Paris, salle de la Mutualité, 1 500 personnes suivront cinq soirées sur l’oraison. Beaucoup diront : « Grâce au Père CAFFAREL, l’oraison a changé ma vie ».
Pendant ce temps, les Equipes Notre-Dame se répandent dans tous les continents. Aujourd’hui, elles touchent 120 000 personnes. Un congrès mondial aura lieu au Brésil en 2012. Partout, les époux sont invités à se sanctifier à travers la vie quotidienne du mariage.
La charte des END comprend six points d’efforts :
une écoute régulière de la Parole de Dieu
un temps d’oraison chaque jour
la prière conjugale quotidienne
le « devoir de s’asseoir » (une heure d’échange et de révision chaque mois)
la règle de vie propre à chaque foyer, à revoir ensemble chaque mois
une retraite annuelle.
Nos amours humaines exigent des échanges, des moments de cœur à cœur. C’est vital. De même pour l’amour de Dieu. Il dépérit dans l’âme d’un chrétien qui ne se ménage pas chaque jour des moments de rencontre avec son Seigneur, moments d’échanges, d’intimité, c’est-à-dire de prière. Si on me dit : « Où voulez-vous que je trouve le temps de prier ? » ? Je réponds : « Est-ce vital de manger ? Toute la question est de savoir si c’est vital de prier ».
« Votre foyer rendra témoignage à Dieu de façon plus explicite s’il est l’union de deux « chercheurs de Dieu ». Des passionnés de Dieu, pour qui Dieu est la grande réalité et que Dieu intéresse plus que tout. Dans un tel foyer, tout est vu et conçu en fonction de Dieu. J’en connais parmi vous, de vrais chercheurs de Dieu, en qui vibre une corde secrète quand, devant eux, le nom de Dieu est évoqué. Mari et femme y sont ces « adorateurs en esprit et en vérité tels que les veut le Père » (Jean 4, 23).
Le Père CAFFAREL ne se contentait pas de fournir aux gens des idées, mais de les faire vivre dans le Christ. Sa cause en béatification a été introduite. On peut prier à cette intention.
 
Livres du P. CAFFAREL
Aux Carrefours de l’amour Parole et Silence
Cinq soirées sur la prière intérieure Bayard
Présence à Dieu (100 lettres sur la prière) Bayard
Jean Allemand : Henri Caffarel Equipes Notre-Dame
La lettre des Equipes Notre-Dame - 49, rue de la Glacière - 75013 PARIs0143 36 08 20 - www\équipesnotredame.org.
Retraites à Massabielle - 1, rue Auguste Rey - 95390 ST PRIEST - www\massabielle.net.

 

L’OBLIGATION DE CONSCIENCE
 
A l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, la députée britannique Cristine Mac Cafferty a présenté, le 7 octobre 2010, un projet de loi limitant le droit à l’objection de conscience. Il concernait surtout l’avortement, mais également la stérilisation, l’assistance médicale à la procréation et enfin l’euthanasie. Le tout dans le cadre de la santé dite « reproductive ».

 

Le projet entendait -au nom du service public- forcer un soignant à pratiquer un acte que sa conscience réprouve. Il mettait en avant le cas d’urgence. Il voulait aussi exclure du droit à l’objection les soignants participant même indirectement à l’acte. Il demandait que l’on crée un registre des objecteurs de conscience. Ceux-ci auraient dû prouver que leur objection était fondée sur leur conscience ou sur des croyances religieuses.
Le texte initial a suscité de vifs débats. 90 amendements ont été déposés. Le projet a été repoussé et remplacé par un nouveau texte.
On a donc assisté à un renversement de la situation. Ce résultat a été obtenu grâce à un travail de lobbying de différents organismes : l’Alliance pour les Droits de la Vie, les AFC d’Europe, et surtout le Centre européen pour la Loi et la Justice, dirigé par Gregor Puppinck.
Le texte final dit quel nul hôpital ou personne ne peut faire l’objet de pression ou subir des discriminations pour son refus de réaliser un acte ou d’y assister.
Le texte adopté à Strasbourg par 56 voix contre 21, n’a pas de valeur contraignante pour les 47 états membres de l’Union européenne, mais il peut fournir un argument solide aux partisans de l’objection de conscience dans les différents pays.
Cependant, Pierre-Olivier Ardum, responsable de la commission bioéthique du diocèse de Fréjus-Toulon, précise qu’il y a encore beaucoup de travail à faire. En France en particulier, un médecin-chef doit veiller à organiser l’I.V.G. dans son établissement. Les hôpitaux publics n’ont pas le droit de refuser de pratiquer l’avortement. Les établissements privés n’en sont exempts qu’à condition que d’autres établissements de la région soient en mesure de répondre aux besoins.
Des établissements abordent la clause de conscience dans l’entretien d’embauche, en vue d’écarter les candidats réfractaires.
Quant aux pharmaciens, ils sont tenus de délivrer le RU486 pour réaliser des avortements précoces. Ils doivent également fournir la contraception d’urgence et le stérilet.
Par ces exemples, on voit que le respect des consciences est loin d’être assuré en fait dans notre pays. En France, des professions entières semblent de plus en plus interdites aux personnes soucieuses du respect de la loi naturelle, à commencer par les chrétiens : gynécologues, sages-femmes, infirmières, pharmaciens. Mais si les chrétiens sont absents de ces professions, ils laisseront le champ libre aux tenants de la culture de mort.
L’objection de conscience ne s’appuie pas sur des considérations religieuses. C’est n’est pas une question d’opinion personnelle, c’est une question de justice, un droit fondamental. Dans le cas de l’avortement, par exemple, nous sommes en présence de la vie d’un innocent sans défense, dans une dépendance totale, envers qui s’impose le devoir absolu de le protéger. L’objection de conscience n’est pas seulement un droit, elle est un devoir impérieux. Oser dire non à la loi du plus fort.
« L’objection de conscience manifeste au plus haut degré la liberté humaine qu’une société devrait toujours protéger. Il arrive qu’une conception absurde de la liberté individuelle -qui ne prend pas en compte le bien commun- interprète l’objection de conscience comme un acte de rébellion ou d’incivisme. Bien au contraire, elle exprime le caractère inaliénable de la conscience de l’homme » (Mgr Jean Lafitte, secrétaire du Conseil pontifical pour la famille).
Ce combat illustre à quel point les avancées de la technique et de la science sont ambiguës et peuvent porter atteinte au respect de la vie. D’où la nécessité pour les associations pro-vie de soutenir les responsables politiques chargés de voter sur ces questions importantes. La résolution adoptée à Strasbourg invite tous ceux qui sont conscients des enjeux à poursuivre le combat en vue de faire respecter le droit des plus faibles.
 

 

LE PAPE ET LE PRESERVATIF

 

Scoop : « L’Eglise a changé… le pape autorise le préservatif ».
Une fois de plus, les médias ont déformé le message du pape. En 1993, Jean-Paul II, au cours de son voyage en Ouganda, avait dit que le véritable moyen de stopper le sida était la chasteté et la fidélité. Il n’avait pas prononcé le mot de préservatif. La presse européenne s’était déchaînée : le pape n’a pas parlé du préservatif, donc il est contre. Scandale !
En mars 2009, Benoît XVI, sans son voyage au Cameroun, affirmait que le préservatif n’était pas la bonne solution pour faire reculer le sida. Nouveau tollé : le pape interdit le préservatif… il est criminel !
Enfin, dans son livre « Lumière du monde », le pape consacre un paragraphe au préservatif. Il rappelle la nécessité de la chasteté pour tous et de la fidélité pour les gens mariés. Quant à ceux qui se livrent à des rapports sexuels multiples et qui seraient porteurs du sida, le simple bon sens demande qu’ils utilisent le préservatif, qu'à une faute grave ils n’ajoutent pas le crime de donner la maladie (et peut-être la mort) à leur partenaire. Le pape cite nommément les prostitués (hommes). C’est également le cas des hommes mariés. Beaucoup d’épouses fidèles ont été contaminées par leur époux infidèle. Par suite, des milliers d’enfants -en Afrique surtout- sont devenus porteurs du sida.
Le pape ne dit que ce qui est évident. Pour autant il ne donne pas le feu vert au vagabondage sexuel.
L’Afrique est le continent le plus touché par le sida. Or la diffusion du préservatif a eu un effet incitatif. Le résultat a été l’augmentation des rapports sexuels multiples. Les hommes ont cru que désormais ils pouvaient satisfaire leur instinct sans risques. Or, en réalité, l’efficacité du préservatif est inférieure à 90 %. Donc, plus on distribue le préservatif, plus on répand le sida.
C’est ce qui s’est passé en Ouganda. A l’arrivée du sida, les autorités ont prôné le préservatif. Cela n’a pas empêché la pandémie de se répandre, au contraire. Devant ce résultat inattendu, le gouvernement a fait marche arrière, en recommandant la fidélité. A partir de ce moment, la progression du sida a été stoppée et maintenant l’épidémie recule.
En conclusion, l’urgence en Afrique consiste, d’une part, à soigner les sidéens -ce que fait largement l’Eglise- et d’autre part, à encourager la chasteté chez les jeunes et la fidélité chez les hommes mariés.

 

REVISION DE LA LOI DE BIOETHIQUE
 
Le 6 février 2006 était votée une révision de la loi de 2004. Cette révision devait être faite tous les six ans, donc le 6 février 2011.
La commission parlementaire a travaillé cette année en vue de la discussion au début 2011.
Les principaux sujets sont :
l’anonymat du don de sperme ou d’ovocyte (discussion)
le diagnostic préimplantatoire (dans la fécondation in vitro) serait exceptionnel
la gestation pour autrui (mères porteuses) sera interdite
de même le clonage thérapeutique : créer un être humain à partir d’un autre, dans le but d’expérimenter des traitements.
Sur ces sujets, il n’y a pas de désaccord important entre la majorité et l’opposition.
Par contre, il y aura certainement débat sur une proposition concernant « l’euthanasie volontaire ».

 

 
DIAGNOSTIC PRENATAL

L’article 9 du projet propose de renforcer l’information de la femme enceinte. Il semble que ce texte ait pour but surtout de protéger les médecins plutôt que les enfants à naître.

A ce propos, dans « Dignité et Vulnérabilité », Mgr d’Ornellas rappelle qu’il ne suffit pas de donner une information neutre car « garder l’enfant ou ne pas le garder n’est pas neutre (indifférent). Il faudrait que soient dites l’immense dignité de l’enfant handicapé et sa capacité à susciter un amour profond ».
Or, le Conseil Consultatif National d’Ethique fait remarquer que « le seul fait d’envisager l’éventualité d’un arrêt de grossesse peut produire un effet incitatif,quand le médecin juge la situation grave ».
Le point principal de la discussion portera sur l’utilisation -donc la destruction- d’embryons congelés. Jusqu’ici, cette destruction était interdite, sauf dérogation accordée par l’Agence de biomédecine, en vue d’un progrès scientifique majeur, et à condition qu’il n’y ait pas d’autre technique possible. Cette dérogation était valable pour 5 ans seulement.
La discussion porte d’abord sur le terme de progrès scientifique. Certains voudraient le remplacer par médical, ce qui est plus large.
D’autre part, certains demandent que la dérogation devienne permanente.

 

Mgr d’Ornellas, président de la commission de bioéthique des évêques de France, s’interroge (dans la Croix). Comment peut-on autoriser la transgression d’un principe éthique ? Car il s’agit de tuer un être humain à son stade primitif. L’autorisation des parents ne change pas la nature de l’embryon : si on le laisse se développer, il deviendra un enfant, puis un homme. A-t-on le droit de détruire un embryon en vue d’un progrès scientifique ou médical ? N’y a-t-il pas hypocrisie à autoriser une transgression : c’est mal, mais on peut le permettre en certains cas…
Voir : Propos pour un dialogue - DDB

 

Le docteur Mirabel insiste : « la souffrance de certains ne justifie pas que l’on mène des expériences sur d’autres êtres vivants. Peut-on tuer Paul pour soigner Jacques ? Car personne n’a encore démontré que l’embryon n’était pas une personne ».
D’autre part, une interdiction avec dérogations n’est plus une interdiction. On a vu ce que cela a donné pour l’avortement. Au départ, la loi Veil affirme que l’Etat garantit le droit à la vie… sauf dérogation pour des cas de détresses. En fait, de dévire en dérive, l’avortement est devenu un droit pour toute femme, sans avoir besoin de justification.
Le sang du cordon ombilical semble offrir des perspectives très intéressantes. Déjà utilisé pour traiter la leucémie et certaines maladies génétiques, il peut également servir pour la recherche. Donc éviter de détruire des embryons. Six banques de sang ombilical existent en France, dont une qui vient de se créer à Rennes.
Avec le sang du cordon et le traitement nouveau de certaines cellules de la peau, on peut traiter 85 maladies.
 
Rappel
Les embryons congelés surnuméraires proviennent de la FIVE (fécondation in vitro). En France, ils sont au nombre de 176 000. On ne sait plus quoi en faire.
L’Eglise déconseille cette technique qui ne respecte pas la transmission naturelle de la vie, telle qu’elle se réalise dans l’union conjugale. La technique devient prioritaire. La femme est soumise à des traitements difficiles. Le résultat est faible, avec une naissance pour 17 essais.
 

 

CHASTETE AVANT LE MARIAGE POURQUOI,

Jean-Marie et Vianeyte Roux - Témoignage

 
Un jeune très motivé, faisant partie du groupe de préparation à la confirmation, nous a posé la question : « Avec ma fiancée, nous avions décidé de pratiquer la chasteté avant le mariage. Mais on n’a pas pu tenir. On ne comprend pas pourquoi l’Eglise interdit ces relations… ».
Notre premier réflexe a été de leur parler de la Beauté de l’Attente qui fait grandir le désir. L’Attente qui est constitutive de notre liturgie : l’Avent, le Carême nous préparent à un grand événement.
Deuxième élément de réponse, notre propre témoignage. Nous avons eu la grâce de vivre nos fiançailles dans la chasteté. Et nous nous rendons compte combien notre vie affective et sexuelle a été une merveilleuse aventure (qui n’est pas terminée).
D’ailleurs, ce n’est pas le premier jour que tout est joué. C’est plus beau et plus fort quand c’est vraiment un projet de couple qui s’est engagé devant la société et devant l’Eglise. Cette entente, vécue sans être cachée sous le boisseau, permet de rayonner beaucoup plus.
Troisième élément. Quand cela arrive « à l’occasion de… qu’on n’a pas réussi à tenir », qu’en est-il de l’adhésion de chacun et de la préparation du couple à cet acte sacré ? N’y a-t-il pas pression (inconsciemment) de l’un sur l’autre ? N’y a-t-il pas danger pour le couple ? Où en est le « ils ne feront plus qu’un » ?
Un prêtre, un jour de mariage, a osé cette comparaison : « Le mariage, c’est comme une église, deux murs qui montent parallèlement, en créant un espace à habiter, mais deux murs qui se rejoignent pour former la voûte !!... à méditer !

 

UNE CARMELITE AU SERVICE DE LA VIE

Témoignage


La sœur Marie-Claire, italienne, se consacre à défendre le droit des enfants non nés. Elle prie et s’offre en réparation pour les péchés contre la vie. « J’accueille le cri silencieux des enfants trop nombreux qui sont tués dans le sein de leur mère ou dans les laboratoires scientifiques.
Mais prier ne suffit pas. Je travaille avec des amis du Mouvement pour la Vie. Nous ne pouvons pas célébrer en plénitude la Pâque du Seigneur tant que sa chair continue à être martyrisée dans les petits hommes encore non nés. La prière et le jeûne sont inutiles si on ne fait rien pour le droit de vivre. Nous devons prier et travailler jour et nuit.
Surtout ne vous taisez pas. Nous devons sortir de l’indifférence et de la complicité. Criez plus fort, renseignez-vous, étudiez. Si vous avez peur, demandez à l’Esprit le courage de la vérité. »
« L’Eglise n’a pas le droit de se taire » (Jean Paul II, l’Evangile de la Vie)
Sœur Maria Chyiara - Movimento per la Vita
Via Gonzaga 63
15033 LASALE MONFERRATO (Italie)

 

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