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SORTIR DE LA DEPENDANCE PORNO
Toute la documentation pour défendre la vie, pour vaincre le mensonge et éviter les drames.

Table des matières

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ACTUALITE MAI 2013
 EST-IL POSSIBLE D’AIMER UNE PERSONNE ET DE CONDAMNER SES ACTES ?

Famille Chrétienne – 11 mai 2013

Oui. C’est l’attitude de Jésus avec la Samaritaine : « Il m’a dit tout ce que j’ai fait » (Jean 4, 34). De même avec la femme adultère : « Moi non plus je ne te condamne pas » (Jean 8, 11).

Un père continue à aimer son fils même s’il a commis une faute grave.

En pratique, il est difficile de distinguer le péché du pécheur. Si une personne a été méchante, on est tenté de haïr cette personne. Je ressens de la colère contre elle et non pas contre ses paroles. Si une personne a été violente, c’est cette personne qu’il faut arrêter avec sa violence.

Le Christ aime le grand pécheur comme le saint, car la dignité de la personne relève de son être et non de ses actes. Et elle peut changer. Il nous faut emprunter au Christ son regard d’espérance. Une personne ne se réduit pas à ses actes. En outre, il y a toujours une possibilité de conversion.

Les aumôniers de prison rencontrent les détenus avec respect. Ils ne cherchent pas à connaître leur passé.

L’amour est autre chose que la tolérance. La tolérance consiste à accepter tous les comportements et toutes les idées. L’amour porte un regard objectif sur les actes. Il examine la vérité ou la fausseté des idées, la bonté ou la malice des actes.

Mais une fois qu’on a fait la vérité sur un comportement mauvais, il reste à mettre en œuvre le pardon et la compassion.

Notre premier devoir consiste à supporter les défauts des autres. Et, si possible, rester aimable et souriant. Ce qui ne supprime pas – quand c’est possible – la correction fraternelle.

 

 

FUIR LE PECHE

 

« Nous assistons à une offensive contre toute religion » Pape François

L’homme moderne veut chasser Dieu parce qu’il est gênant.

« L’éclipse de Dieu entraîne l’éclipse du péché» (Benoît XVI

Le 9 mai, jour de l’Ascension, St Paul rappelait aux chrétiens qu’ils doivent fuir l’impureté :

« Vous ne devez plus vous conduire comme les païens qui se laissent conduire par le néant de leur pensée. Ils ont l’intelligence remplie de ténèbres et sont étrangers à la vie de Dieu... ayant perdu le sens moral, ils se sont livrés à la débauche...

Il s’agit de vous défaire de votre conduite d’autrefois. Adoptez le comportement de l’homme nouveau, créé juste et saint à l’image de Dieu. »

 

 

LE SECRET DE FRIGIDE BARJOT : DIEU

Cette catholique branchée s’affronte directement et sans peur à la majorité parlementaire pour défendre la famille. C’est du feu. Elle fait honte aux hommes. Après elle il ne faut plus parler du sexe faible.

Son dynamisme étonnant s’enracine dans sa découverte du Christ.

A ses « amis cathos endormis », elle crie : « Oui, levons-nous, mes amis chrétiens et cathos » avec le « même enthousiasme que les chrétiens de la première heure » (Jean-Paul II – Novo Millienenion Adveniente).

« Soyez illuminés par le Christ et vous serez éblouissants. Je vous propose quatre morales pour avancer sur le chemin de Dieu et le retour à une France unie :

- rien ne sert de pleurer, d’abord il faut prier, sinon il ne se passera jamais rien

- rien ne sert de vous lamenter, il faut agir, sans peur du reproche

- rien ne sert d’accuser le monde athée ; c’est à vous, d’abord, de communiquer au monde plus efficacement

- enfin, réjouissez-vous ; avec l’aide du Saint-Esprit, les raisons d’espérer sont en train d’éclairer le chemin.

Confession d’une catholique branchée - Plon

Au niveau des moyens, il y a encore deux points de vue. Frigide Barjot verrait bien le gouvernement s’orienter vers un PACS amélioré sous forme d’un contrat pour les couples homos. Tugdual Derville et Ludovine de la Rochière, la nouvelle responsable de la Manif pour Tous, préfèrent demander simplement l’annulation de la loi. Cela est secondaire. De toute façon, la loi doit être retirée. C’est ce que demanderont les 2 millions de maifestants du 26 mai. Et amprès le mouvement ne s’arrêtera pas.

 

NOUS NE LACHERONS RIEN

 

 

 

LA RESISTANCE FRANÇAISE

Un grand printemps s’est levé.

Les autres pays ont les yeux fixés sur l’opposition ferme et multiforme de la France.

Plus d’un Français sur deux (54 %) préfère au mariage homo l’union civile sans adoption (IFOP 3 mai)

 

Livres

De la théorie du genre au mariage de même sexe – Béatrice Bourges – Peuple libre – 8 €


NE SOIS PAS GAY :TU FINIRAS TRISTE

Trois témoignages

Le témoignage de celui qui se présente sous le pseudonyme de Sébastien rejoint celui de Philippe Arino, avec cette différence que son expérience a duré non pas un an et demi mais 20 années.

Il décrit l’aspect séduisant du milieu gay et la tristesse de ceux qui n’ont pas réussi à s’en sortir.

« Ma première rencontre a été due au hasard, près du parc St Germain en Laye (78). Ce garçon était malheureux mais compréhensif, patient. Sa maison était soignée. Mais après l’union, je me suis senti sali. J’étais complètement perdu. J’avais franchi un grave interdit qui m’avait rempli de honte. Puis j’ai été séduit par l’ambiance jeune ».

Les homos forment un monde jeune. Ils aiment la fête, les sorties nombreuses au restaurant, au bistrot, en boîte. Certains sortent trois fois par semaine, ou même tous les jours pour certains, tout en travaillant. Ils sont attirés par la jeunesse, par la nouveauté, la frénésie, la recherche du sensible.

Les homos forment une communauté plutôt raffinée, sélect au plan vestimentaire, avec de jolies voitures. Ce sont surtout des gens aisés, même si l’homosexualité gagne aussi le milieu ouvrier et rural. On voit une évolution rapide, dirigée par des lobbies.

On y rencontre des gens importants, ayant un fort pouvoir d’achat. Ce peut être un moyen d’ascension sociale. On y fait preuve de modernité, d’ouverture d’esprit. Pour se justifier, on n’a pas peur de se rabaisser en parlant de l’état animal : « Certains animaux le font, alors pourquoi pas l’homme... ».

Les homos se reconnaissent entre eux, près des lieux de prostitution, près des urinoirs. Les rencontres sont nombreuses, rapides, faciles, et aboutissent vite. Quelques mots suffisent. L’acte physique devient secondaire.

L’homosexualité est devenue un thème porteur pour les médias. Les gay-pride triomphent dans les villes. Cela fait de la publicité. La pornographie s’étale dans la presse.

Mais dans la vie courante, l’attitude des homos est différente. Dans les milieux de travail ordinaire, on n’aime pas dire qu’on est homo. Surtout il n’est pas question d’en parler à l’embauche. On admet les homos pourvu qu’ils soient des locataires sans histoire. En fait, la majorité des homos cherchent plutôt à vivre cachés. Ils ne demandent pas le mariage. Leur comportement marginal leur suffit. Ceux qui parlent fort dans les médias font partie de la frange extrémiste. C’est toujours le même commando spécialisé qui est invité pour l’abrutissement du téléspectateur.

 

Problème

Plusieurs sont devenus homos suite à un divorce ou encore après le refus d’une femme. Chez certains cela devient une forme de peur, de rejet de l’autre sexe : « J’éprouvais une sorte de dégoût, presque de haine vis à vis des femmes. Je voyais les disputes de certains couples hétéros, les divorces. Je n’avais plus de contact avec les femmes. Quand je leur disais que j’étais homo, elles brisaient net. Le désir fausse la pureté nécessaire à l’amitié ».

Problème de l’enfant : la honte quand ses deux pères viennent le chercher à l’école. Les séparations, déménagements la garde de l’enfant...

Plus grave : le grand problème c’est la durée. Sébastien a rencontré 14 hommes en 20 ans ! On promet de faire un bout de chemin ensemble. Le même couple peut sortir pour des aventures jusqu’à ce qu’on en rencontre un autre. Les couples durent quelques semaines, un an quatre ans. 14 ans, 20 ans sont des records.

« Je suis resté 4 ans avec P., ce qui est un exploit. Cela s’est mal terminé. Il y a eu des scènes, des gifles. La séparation a été un drame pour P. « 

Le problème c’est de vieillir. La jeunesse, la force diminuent, l’apparence baisse. Maintenant on porte des vêtements plus ternes. Il faut durer dans ce monde jeune. Rester jeune est un impératif.

A 40 ans, on perd des cheveux. On a des rides. C’est la panique. On essaie de masquer cela par des crèmes, des lotions. On essaie de garder la forme par des exercices de musculation. Malgré cela, on se sent vieillir.

L’homo reste seul. Le milieu gay lui cachait sa solitude. On n’attire plus. Petit à petit on se sent repoussé parce qu’on devient vieux. La famille, frères et neveux se sont éloignés. On essaie de suivre les « vieux gays ». La vie d’aventure, la fête, c’est fini. Son tour est venu. Au-delà de 50 ans, cela devient difficile. La fin est triste. Beaucoup sombrent dans l’alcool ou se suicident. On revient difficilement de l’homosexualité. Et on ne s’en sort pas seul.

Il faut en sortir

« Après 20 ans d’expérience de l’homosexualité, il est grand temps de parler. On parle du mariage homo et du droit à l’enfant. On ne parle pas des désastres qu’il cause. Je suis farouchement opposé aux projets qui se dessinent, ayant été franchement homo pendant 20 ans et membre de la société gay. En aucun cas je me propose de faire le procès du milieu gay.

Je suis prêt à affirmer qu’on ne peux pas être gay et heureux. Je veux lutter contre l’illusion que l’homosexualité est un chemin comme un autre vers le bonheur. Je dis mon bonheur d’y avoir échappé. L’instabilité ne peut pas créer l’équilibre. La loi donnera ce que la nature refuse, c’est de la pure hypocrisie.

Ce que je condamne est sans appel. Je suis opposé avec la dernière énergie au mariage homo. Je tiens à insister sur l’ineptie de l’union officielle.

A ceux qui seraient attirés par le milieu gay et qui pensent qu’ils pourraient y trouver l’épanouissement, j’espère leur avoir montré qu’on ne s’y épanouit pas. »

Devenir Gay, c’est finir triste – Il faut s’en sortir

 

Philippe Arino :La continence a décuplé ma vie

En 2011, lors d’une conférence, j’ai compris combien j’étais en contradiction : si je voulais être heureux, il fallait que j’en sorte. Je ne pouvais plus choisir deux maîtres : et le Christ et ma pratique homosexuelle. J’ai pris conscience de l’importance, pour un disciple du Christ, de chercher à vivre ce que l’on dit. Il s’agissait concrètement de vivre la continence.

La continence va plus loin que la simple absence de contacts physiques. Est continent celui qui lâche le rêve de former un couple homo, qui ne louvoie pas entre l’amitié et la sensualité, celui qui a posé définitivement le choix de l’amitié simple. Je constate d’ailleurs que parmi les catholiques homosexuels qui n’ont pas encore fait le choix de la continence, beaucoup s’éloignent de l’Eglise.

J’ai arrêté la drogue et la masturbation justement parce que je n’étais pas comblé. J’aspirais à plus grand que ça. Mais la continence n’a rien de subi ni de magique. On y parvient petit à petit, en découvrant des paysages inconnus. La continence change tout. C’est un frai chemin de liberté intérieure.

Je suis professeur. Je fais du théâtre. J’ai un tissu amical et familial très développé. Mais depuis que j’ai décidé de vivre la continence, il y a deux ans, c’est comme si les dimensions de ma vie se déployaient. Tout est comme décuplé. Elle a réconcilié tout mon être avec Dieu, par l’Eglise. L’homosexualité est une blessure, une amertume qui brise toute tentation d’euphorie. Elle pousse à l’humilité.

L’Invisible – avril 2013

 

L’Eglise m’a libéré

Marc – 26 ans

Avant ma conversion, lorsque je parlais de mon homosexualité, j’étais content lorsque mes interlocuteurs n’y trouvaient rien à redire ou m’encourageaient dans cette voie, avec le désir sincère de m’aider. J’avais la satisfaction passagère et l’illusion d’être accepté.

Mais je n’étais pas entièrement satisfait ; ça ne suffisait pas ; je me retrouvais à nouveau seul. Il me fallait toujours plus de preuves de l’acceptation, de la reconnaissance des autres.

Cette acceptation, je l’ai trouvée dans l’Eglise. J’ai enfin trouvé la véritable compassion, qui ne consiste pas à dire : « Fais ce que tu veux, ce n’est pas grave ». Mais avoir été regardé comme une personne à part entière m’a libéré.

On me donnait l’enseignement de l’Eglise, on me l’expliquait, mais on me laissait libre de le suivre ou non. C’est dans l’Eglise que j’ai trouvé la liberté. L’Eglise m’a fait comprendre que mon mal-être était dû au fait que j’étais enchaîné par mes pulsions et mes désirs impossibles. J’ai découvert un trésor que je ne soupçonnais pas : la vie avec le Christ, le seul qui peut combler tous nos vides et nous relever quand on veut le laisser faire.

Salon beige

LA JOURNEE POUR LA VIE

Le 26 mai, jour de la super-manif à Paris, sera également la Journée Nationale pour la Vie. En France, la journée pour la Vie, instituée par Jean-Paul II en 1995, a été fixée par les évêques le jour de la fête des mères.

« Son but est de susciter dans les familles, dans l’Eglise et dans la société civile, la reconnaissance de la valeur de la vie humaine à toutes ses étampes, et particulièrement de la gravité de l’avortement et de l’euthanasie. »

Partout, des quêtes seront faites au profit d’associations accueillant les femmes enceintes en difficulté.

 

Europrolife.com

Procession de prière pour la Vie

Strasbourg – 12 juin 2013 – 13 H

Qui sommes-nous?
Pour nous contacter
Abbé Yves Jausions, 22 bis rue Saint Louis - 35000 Rennes - France Tel:02.99.67.61.59
 
 
 
 
 

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